• Poète: ombres et lumière

      

    Je trouve dans les notes spirituelles du vénérable Adolphe, cette réflexion sur le poète Jean Aicard. J'en ferai  le rappel ici, en trois temps. Aujourd'hui, premier temps:

    Jean AicardHélas, comme elle est triste cette vie de poète, d’un être fait tout de même pour aimer et faire aimer et qui s’étend comme l’eau sans force et sans vie. Voilà bien  le beau sans la beauté; que c’est froid, stérile. Mon Dieu, mon âme se navre de voir cette belle fleur se flétrir sur le pied que vous lui avez donné,  se flétrir sans le fruit que vous attendiez et je vous dis : Seigneur,  un peu d’eau pour cette fleur qui meurt !  Hélas, ses racines ont plongé  dans une terre d’absinthe,  elle a végété à l’ombre de l’enfer;   Il ne savait pas ce qu’il faisait. Seigneur, un peu de lumière, un peu d’humilité.

    Hélas, le malheureux, il rejette les avances de Dieu qui l’aime, il blasphème! C’est donc fini. Non! Non! Écoutez.

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