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    Le martyre  que Dieu demande.      I

     

    "Sans doute il faut savoir traiter son corps. - Mais le sang  que Jésus demande, ce n' est pas tant celui de nos veines que celui qui suinte de nos fronts et de nos coeurs.

    Ça sera le martyre constant qu'un bon frère, -  une bonne chrétienne, un chrétien généreux, --   doit desirer.

     

    F. Adolphe Chatillon  ... "Pensées" 1912 "S" p.  ?

     

    N'est-ce pas l'héroïsme du quotidien tout bonnement ?

     

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  • ... car il plaît à Dieu depuis un an de [me] créer une épreuve permanente, bien humiliante. Je ne sais pas comment j'en sortirai. ... - Rien ne console et ne tranquillise, certes, comme de penser que c'est la volonté de Dieu

    la pensée vivante

    qui règle tout, qui pèse tout - qui arrêtera à heure fixée tout le travail. -

    L'épreuve est une longue opération bien irri­tante le temps qu'elle dure; mais l'âme en sort si forte et si alerte qu'on sent bien que le divin Médecin fut toujours le Père -infiniment sage et bon.

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    La Bonté c'est la vertu de Notre-Seigneur, ....   Il n'y a que lorsque j'ai été bon que j'ai fait du bien.avant tout ....

     

    La bonté empêche d'abord de juger mal et empêche de parler et d'agir inconsidérément.

     

    La bonté exclut absolument l'égoïsme, l'apathie, l'intérêt, la bassesse, l'amour des aises et de la jouissance.

       (vénérable Adolphe, cahier "G(2)" 54,55)

     II faut bien de la sagesse et de la prudence, mais surtout de la Bonté.            Cahier   G(2) p 54,55

     

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    PRUDENCE.       ...Si j'osais te donner un conseil qui m'a été donné à moi-même par un saint prêtre,  je te dirais: De ne pas répondre trop vite à toute demande de conseil, d'avis, de permission, d'opinion, mais, dans un court espace de temps, élever son âme à Dieu puis, répondre – parfois, remettre la réponse à plus tard. Ce conseil m'a été utile bien des fois.  (Lettre à son frère Robert 7/8/24)

     

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    La charité. 

     

    La charité sans la foi est une humiliation -   Quoi, pardonner à celui-ci? plaire à celui-là, excuser   cet autre, mais que me reviendra-t-il de m'abaisser ainsi ?    Suis-je déjà si grand qu'il faille me descendre moi-même ?   Non,du fiel dans le coeur parce que je méprise, j'en   aurai dans les yeux, dans la parole et dans le geste.    Oh ! grandir en amourque la foi est forte qui tombant sur ce coeur qui s'enfièle, le presse, lui fait suer l'âpre venin de l'orgueil,   lui défendant la pensée même de froideur, l'adoucit, l’apprivoise, le gagne à l'amour, met devant ses yeux le   Christ qui pardonne.    Alors son regard se teinte de douceur,    son geste fait comme s'il touchait Jésus et sa parole   ne   sait que dire: «Mon frère ! »    F. Adolphe Chatillon,   "Pensées" "S" p.11)

     

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