La fin du cahier G no1  ne doit pas être lue superficiellement  Regardez bien ces quelques lignes. Elles parlent de santé et de maladie. On peut lire la situation dramatique dans laquelle vit alors le vénérable Adolphe Chatillon, ((Frère Théophanius-Léo)  qui est directeur à l'école de Sainte-Cunégonde de Montréal. en novembre 1907 il sera victime d'une maladie mortelle déclarée, mais complexe. Ces lignes nous suggèrent qu'il y a eu des symptômes avant-coureurs.

Ce contexte permet de donneer de la profondeur aux termes que contient notre extrait. Il y en aura d'autres à lire en perspective.

p. 61  Suivre sans exagération la Règle. Le bon Dieu, règle générale, donne la santé, la conserve. La maladie, la sanctifier, chercher à recouvrer la santé. Se contenter de nos traditions, les suivre. Quand on est jeune, illusion de la ferveur.  [T.  règle, traditions.]

Nous approchons des extraits qui vont terminer bientôt le cahier G no 1. Dans cet extrait,  le vénérable révèle bien son attitude fondamentale qui le relie à la sainteté telle que la définit un auteur spirituel, Jacques Gauthier."La sainteté consiste esentiellement à accueillir l'amour de Dieu dans notre vie de tous les jours." (EAn son nom, novembre 2011, p. 259) Et voici ce qu'écrit le vénérable Adolphe Chatillon:

 J'ai soif! Ce cri d'amour plus que de souffrance, ou plutôt ce cri d'amour souffrant. Jésus languit comme le cerf altéré après l'eau vive de notre amour. L'amour ignoré, méconnu, est blessé. Il se plaint.  Ô Jésus, qui répondra à votre  amour ? Oui, elles se lèveront ces légions d'âmes vierges qui viendront, qui viendront comme Ste Marguerite-Marie, étancher en union à Marie votre Mère, la soif d'amour qui vous dévore.  Attirez-nous  (T. Jésus-Christ).

L'unité, l'union -  chose impossible sans l'esprit de Dieu --  a été l'objet de la prière de Jésus avant son sacrifice.  Sa mort fut pour ainsi dire comme le sceau de sa prière.  Ô Jésus, votre prière a  eu son magnifique accomplissement au travers des siècles.  Redites-là encore aujourd'hui et toujours pour votre Église, pour notre congrégation. Ô Marie,  joignez votre prière à celle de Jésus pour votre famille.  [T. Charité]

Ce blog est centré sur une personne. Cette personne est vivante dans  les souvenirs, dans ses écrits. Il s'agit d'Adolphe Chatillon. Il est néd ans la ville de Nicolet, en 1871, il y a 140 ans. Pourtant son souvenir n'est pas effacé. En 1943 on lui a consacré une première biographie sous le titre "Rendre Heureux", et en 1992 on a mis à jour cette biographie sous le titre de "routier de la joie commautaire".

En 2011,  l'Église    a reconnu   la sainteté de sa vie  et l'a déclaré  Vénérable Adolphe Chatillon. Deux fois  par semaine, ce blogue présente  des extraits  de ses écrits pour nous rapprocher de son enseignement  et mieux comprendre le cheminement de son aventure spirituelle. C'est généralement le lundi  et le jeudi que les extraits sont mis en ligne.  En ce 14 novembre l'ancien blogue,   chez branchez-vous  tient encore. mais sous peu, nous commencerons ici une nouvelle série. Je compte sur votre fidélité. Merci.            

Je fais un second de puboication d'un article pour le blogue  http://adolphe.eklaBlog.com-  

puisque je ne retrace pas cet article dans la ligne de recherche avec l'adresse ci-dessus. Je n'ai pas encoure trouvé ce qui cloche.

Pourquoi ne pis-je pas retrouver mon blogue adolphe.eklablog.com  dans la ligne de recherche de google ou autre ? Mystère.