• Le vénérable Adolphe Chatillon se faisait remarquer par une exquise gentillesse acquise par des victoires sur son tempérament véhément, un sentiment profond de la présence de Dieu qui rayonnait dans sa personne, une charité exprimée par ses paroles et par ses gestes de partage. Sa vie n’a pas été retentissante sur la scène publique; il a servi le Seigneur dans le simple quotidien, dans son devoir d’éducateur et de motivateur, dans une application constante à la prière eucharistique et à la dévotion mariale. Sa sainteté rayonnait autour de lui, au point que dès sa mort, on a voulu avoir recours à son assistance pour demander des faveurs et des guérisons. On peut demander en privé, l’intercession du vénérable Adolphe Chatillon. Mais il faut éviter de le considérer comme s’il était bienheureux et on ne peut pas faire un culte public à son égard..

     

    Pour toute information supplémentaire, vous pouvez vous adresser au Centre Adolphe Chatillon, 5714 av. Darlington, Montréal, QC, H3S 2H7 (tél. 514-737-1545  poste 105 ou 111  ) ou par e-mail  jagbeaudet@sympatico.ca 

     

    Pour consulter le blog;  http://adolphe.eklablog.com

      

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  • L’ÉGLISE CANADIENNE COMPTE UN NOUVEAU VÉNÉRABLE.

     

    Depuis le Décret papal émis le 2 avril 2011,  Frère Théophanius-Léo Chatillon  est devenu le plus récent vénérable de l’Église canadienne sous le nom de VÉNÉRABLE  ADOLPHE CHATILLON (1871-1929 ; photo )

     

     Frère des Écoles chrétiennes, il fit son noviciat à 16 ans, en 1887. il s’est attaché à suivre la volonté divine en toutes choses, et fut donc très fidèle à observer sa règle religieuse et ses vœux. Il a cultivé l’esprit de foi et de zèle qui est le propre des Frères des Écoles chrétiennes. Il fut un excellent catéchète et un brillant conférencier auprès des jeunes aspirants qu’il a eu à former à la vie religieuse, en tant que directeur du Noviciat pendant douze ans.

     

    Ses Supérieurs lui confièrent la tâche, en 1923, de visiter les maisons de formation du Canada et des Etats-Unis.  Il le fit avec un très grand succès. Victime d’un cancer intestinal tandis qu’il séjournait en Belgique en 1928, il décéda dans la paix du Seigneur, à Laval-des-Rapides, le 28 avril 1929. Tout son entourage le considérait comme un « saint »

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    En ce jeudi, 8 décembre 2011, nous pourrions  souligner la dévotion filiale extraordinaire que le vénérable Adolphe Chatillon a toujours exprimée envers la Vierge Marie, Mère du Fils de Dieu.

    Cependant, dans la ligne adoptée, nous allons  présenter aujourd'hui les deux dernières entrées du livret (cahier) G no 1.  Les expressions soulignées et d'autres, nous laissent  deviner un état critique dans lequel se trouve le Directeur de l'école Sainte-Cunégonde, à cause de sa santé. On remarque l'attitude d'abandon à la volonté divine.  Et le sens de collaboratiion à ,'égard de la volonté divine sur lui.

    p. 63 - J’ai besoin de toi.- Que ferais-je ? Laisse-moi faire. Laisse-moi  dans ton âme. Tu seras maître, j’atteindrai ces petites âmes par toi. - Répondrai-je : Je ne suis point capable ? Non. Garder le bon Dieu, c’est le rendre capable de travailler.   [ T. Actions]

    p. 64   Le bon Dieu peut compter sur moi .      [T.  Dieu ]

    Le cahieer s'achève  avec cet esprit de sacrifice.  Les extraits ne sont pas datés. On comprend qu'ils contemporains de son entrée en maladie à la fin de novembre.  S'ensuivra une maladie très grave et myst`rieuse et la longue période de voncalescence de 4 mois de janvieer à juin 1908.

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    On peut se demander si ce passage du cahier G no1, traduit une expérience personnelle, en état de maladie, en novembre 1907. On comprend tout au moins qu'il est question d'une difficile soumission, d'une siutation humiliante et que le vénérable s'inspire de l'exemple de Jésus-Christ.

    p. 62 -  Obéissance, soumission difficile, impossible sans la grâce de Dieu en nous. Jésus est soumis, il est Dieu, plein de Dieu, pas d’imperfection possible. Quand la soumission est difficile, chercher à mettre plus de grâce à mon acte d’humiliation. [ T. obéissance]

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  • La fin du cahier G no1  ne doit pas être lue superficiellement  Regardez bien ces quelques lignes. Elles parlent de santé et de maladie. On peut lire la situation dramatique dans laquelle vit alors le vénérable Adolphe Chatillon, ((Frère Théophanius-Léo)  qui est directeur à l'école de Sainte-Cunégonde de Montréal. en novembre 1907 il sera victime d'une maladie mortelle déclarée, mais complexe. Ces lignes nous suggèrent qu'il y a eu des symptômes avant-coureurs.

    Ce contexte permet de donneer de la profondeur aux termes que contient notre extrait. Il y en aura d'autres à lire en perspective.

    p. 61  Suivre sans exagération la Règle. Le bon Dieu, règle générale, donne la santé, la conserve. La maladie, la sanctifier, chercher à recouvrer la santé. Se contenter de nos traditions, les suivre. Quand on est jeune, illusion de la ferveur.  [T.  règle, traditions.]

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